
" Traces de Guides "
Odette et Jean Louis Bernezat, que l'on nomme affectueusement ''Les Bernouzes'', sont des précurseurs. Couple d'aventuriers du 20e siècle, ils ont innové en développant les raids à ski, les traversées ..
L'exposition offre une rétrospective de la création de la compagnie des guides de Grenoble en 1964, aux 100 000 kilomètres d'exploration du désert par Jean-Louis et Odette Bernezat, à pied ou à dos de chameaux. C'est aussi l'occasion de redécouvrir leurs mentors : Lionel Terray, Paul Keller, Pierre Girod et Conrad Kilian.
Amateurs d'art, Odette et Jean-Louis n'ont de cesse de partir à la découverte d'artistes. Ils se sont fiés à leur œil et à à leur cœur, débusquant parfois des peintres ignorés qui ont ensuite fait une carrière internationale.

" Traces de Guides "
Odette et Jean Louis Bernezat, que l'on nomme affectueusement ''Les Bernouzes'', sont des précurseurs. Couple d'aventuriers du 20e siècle, ils ont innové en développant les raids à ski, les traversées ..
L'exposition offre une rétrospective de la création de la compagnie des guides de Grenoble en 1964, aux 100 000 kilomètres d'exploration du désert par Jean-Louis et Odette Bernezat, à pied ou à dos de chameaux. C'est aussi l'occasion de redécouvrir leurs mentors : Lionel Terray, Paul Keller, Pierre Girod et Conrad Kilian.
Amateurs d'art, Odette et Jean-Louis n'ont de cesse de partir à la découverte d'artistes. Ils se sont fiés à leur œil et à à leur cœur, débusquant parfois des peintres ignorés qui ont ensuite fait une carrière internationale.

" Traces de Guides "
Odette et Jean Louis Bernezat, que l'on nomme affectueusement ''Les Bernouzes'', sont des précurseurs. Couple d'aventuriers du 20e siècle, ils ont innové en développant les raids à ski, les traversées ..
L'exposition offre une rétrospective de la création de la compagnie des guides de Grenoble en 1964, aux 100 000 kilomètres d'exploration du désert par Jean-Louis et Odette Bernezat, à pied ou à dos de chameaux. C'est aussi l'occasion de redécouvrir leurs mentors : Lionel Terray, Paul Keller, Pierre Girod et Conrad Kilian.
Amateurs d'art, Odette et Jean-Louis n'ont de cesse de partir à la découverte d'artistes. Ils se sont fiés à leur œil et à à leur cœur, débusquant parfois des peintres ignorés qui ont ensuite fait une carrière internationale.
"Ce que l'esprit voit le coeur le ressent."
A. Malraux
Québec
Photos Antoine Corcket
Où s'est produit l'expo ?
Grenoble
du 16 sept au 15 oct 2021
Maison de la Montagne
14 rue de la République
Grenoble

"Né en 1999, j'ai eu la chance de souvent voyager pendant mon enfance. Que ce soit en France ou à l'étranger, j'ai toujours adoré observer les animaux au travers de mes jumelles. Ayant grandi au milieu des vignes de la région bordelaise, c'est dans cet environnement que j'ai fait mes premières photos de chevreuil et de martin pêcheur début 2018. En 2019 dans le cadre d'un échange universitaire, j'ai eu l'opportunité de partir une année au Québec. Là-bas, j'ai découvert les immenses forêts canadiennes et leur faune incroyable. De retour en France, l'appel du sauvage m'a conduit dans les Alpes où je traîne maintenant mon sac à dos et mon appareil photo. Tous les animaux que je photographie sont libres et sauvages. L'éthique est une valeur importante dans ma démarche. Que ce soit à l'affût ou à l'approche, je réalise toujours mes clichés avec respect et passion. Mon année passée là-bas fut forte en rencontres avec les espèces emblématiques de cette région. Des ours noirs jusqu’au petit écureuil roux américain, en passant par le mythique harfang des neiges, je vous propose de découvrir ces animaux extraordinaires au fil de l exposition "Quebec" .
Une partie des photographies de cette exposition a été réalisée à proximité ou dans la ville de Québec. Cela permet de mettre en avant les interactions entre l’humain et la faune sauvage. Certaines espèces, comme les renards ou les ratons laveurs, cohabitent relativement facilement avec l’humain. C’est également le cas des chouettes et des hiboux. Certains individus passent l’hiver dans les parcs urbains, chassant les nombreux écureuils, passereaux et canards nourris par les passants.
Cependant, d’autres espèces telles que les caribous (que je n’ai malheureusement pas eu la chance de rencontrer) ont besoin de milieux sauvages et non anthropisés pour prospérer. L’augmentation du nombre de routes forestières, facilitant notamment le déplacement des prédateurs et des espèces concurrentes, entraînent une chute brutale de leurs effectifs. La préservation de la biodiversité passe nécessairement par la protection des grands espaces sauvages mais aussi, de façon plus inattendue, des zones naturelles en milieu urbain.